Accident de parcours

Catégories : Femmes fessées
il y a 13 ans
La journée avait mal commencé. J'avais été odieuse avec Monsieur pendant le petit déjeuner.

Il avait osé de se perdre dans ces pensées autour d'un bricolage compliqué qui lui prenait la tête depuis quelques jours. Il s'agissait d'une amélioration concernant mon confort personnel. Cela va de soi. J'avais insisté de faire faire les travaux par une entreprise. Lui, son truc c'est le bricolage. C'est toujours extrêmement bien fait, mais parfois ça lui prend un peu trop de temps à mon goût.

Il restait calme. Il reste toujours calme. Ca m'énerve encore plus. Irritée devant son insensibilité manifeste à mes propos, je n'arrêtais pas d'en rajouter jusqu'au débordement.

  • Tu as grand besoin aujourd'hui que je m'occupe de tes fesses, isabelle ! Tu te sentiras bien mieux après.

J'ai horreur de cette réflexion. Je la trouve particulièrement vexante, car elle s'attaque là où je suis la plus sensible : à mon amour propre. Je m'en tape un peu de mon derrière. J'ai l'habitude de recevoir la fessée « cul nu » comme dit Monsieur depuis des années. Ca fait partie de ma vie comme dormir ou travailler. Et je me porte très bien. J'ai dû mal à imaginer une vie sans corrections corporelles. Quand il y a trop d'espace entre mes punitions je deviens infernale. Pourtant je déteste la douleur liée à cet acte. C'est après que je trouve mon compte.

Ne pas savoir de m'occuper toute seule de mes fesses met en relief mes insuffisances qui m'incommodent moi la première. Que j'aie besoin que lui le fasse r e n f o r c e encore la pique. Et le « tu te sentira bien mieux après » c'est la cerise sur le gâteau.

Je ne puis lui cacher cette évidence. C'est mon corps qui me trahit quand je passe mon temps au coin et la fessée entame son bienfait en se transformant en sensation plaisante. Mélange entre intense brûlure qui me rappelle ce que je viens de recevoir et émoustillement traître et bientôt incontrôlable qui envahit mon bassin. Cette luisance naturelle qui indique clairement à mon homme que la fessée représente plus pour moi qu'un moyen purement éducatif. Dans ces moments l'envie de me toucher ne me manque pas. L'envie que ce soit lui qui me touche est encore plus forte. C'est le contre coup de l'éducation anglaise. Ca amuse beaucoup mon homme. Autant que cela m'amuse de constater l'effet de mon corps, de certaines de mes comportements ou tenues sur lui. J'aime que son corps se charge à sa place de répondre. Une tenue par exemple qu'il qualifie d'habitude de ridicule, excentrique ou encore comme un peu démodée se transforme soudainement en emballage miracle.

Et ça te fait rire, isabelle...

Alors il ne se prive pas de me rendre la pareille quand je fais du coin.

Madame va mieux ? Madame s'excite dans son coin ? Madame désire que je me occupe autrement de ses fesses ?

Ca me fait bouillonner. Je haïs le coin après la fessée. Pour moi c'est une exhibition imposée de mes émois les plus intimes. Certaines positions m'incommodent particulièrement.

Mais nous ne sommes pas encore là. Ce jour ne sera pas comme les autres.

Accident de parcours (récit) 2

Quand il dit « s'occuper de mes fesses », il s'occupe de A à Z. C'est lui qui se lève pour chercher le martinet. Il le pose négligemment sur la table et continu son petit déjeuner. Pas question de changer ses habitudes pour me corriger. Je passe après le café. Je ne supporte pas cela et je sais bien qu'il le fait exprès.

Mais je sais aussi quand nous passons au mode « martinet à table », il vaut mieux que je me taise. J'ai essayé une fois de continuer à em... mon homme, malgré la menace bien explicite. Il a fini tranquillement son café et pendant que je lui en servait un autre il se leva une fois de plus en me disant :

Je vais ranger le martinet à sa place !

Je n'ai pas compris sur le coup ce qui se passait. Il m'a fallu son retour, le paddle en main pour voir plus clair. C'est un très bel instrument en cuir et je lui trouve beaucoup de classe. C'est un garant aussi d'une fessée très persuasive. Ca marque vite, fait un bruit d'enfer et c'est extrêmement douloureux. Après un petit échauffement en douceur il suffit de peu coups sensés pour me rappeler à l'ordre. Notre paddle ne sert que rarement. D'habitude le martinet suffit amplement pour rétablir mes bonnes manières. Monsieur me trouve facilement éducable. Il ne me considère pas comme une fille qui lui pose des grands problèmes. Gentille et surtout souriante la plus part du temps, il ne m'arrive pas à être pénible souvent. A son goût je suis seulement un peu trop encline aux galipettes. Il arrive bien à canaliser mon énergie débordante en ce domaine en m'imposant une discipline stricte qui fait des miracles. Je compense par le travail.

L'épisode du paddle m'a bien servie. Le martinet à table me suffit désormais pour changer mon attitude.

C'est un chéri par-ci et par là. Je suis l'amabilité même. Je ne recule devant aucune gâterie pour amadouer mon homme. Au petit dej il ne dit rarement non. Même si la punition est annoncée. Nous sommes encore hors cadre punitif. Alors tout est permis. Mais ça ne change rien. Quand Monsieur se décide enfin de sortir de table (et ça peu durer longtemps parfois) il s'occupe comme promis de mes fesses.

Je ne lui en veux pas qu'il prenne du plaisir à m'éduquer. Son imagination est débordante car sa libido s'en mêle. La distinction avec certains jeux érotiques consiste à éviter les punitions à caractère trop sexuel. Je suis souvent stupéfaite de lire des articles qui parlent de fellation ou de sodomie punitive.

Je conçois qu'un homme ne fonctionne pas obligatoirement de la même manière qu'une femme. Je conçois également que celui qui tient la baguette vit quelque chose de bien différent que celle à qui elle est destinée. Mais je ne me voile pas la face pour la DD à notre façon.

Elle est imbibée, trempée même d'éléments érotiques. Sauf que l'énergie libérée, l'excitation quoi, ne sert pas à finir enlacé en couple amoureux, mais elle est détournée en intercalant des activités et devoirs dans lesquels elle trouve un but concret, non sexuel. Il suffit de me regarder quand je fais le ménage après une sévère correction. A la façon que je frotte avec ardeur on comprend que cet acte est substitut pour autre chose de plus charnel. Mais le résultat y est. Le sol brille. Idem quand je fais des études après. Je bosse jusqu'à je retienne correctement le sujet.

Pour moi mon homme est le chef d'orchestre à la maison. Ca marche à la baguette. Tout marche à sa baguette.

Les punitions se suivent, mais souvent c'est de l'inédit. Seul les petites fautes sont sanctionnées par une courte mais intense fessée au martinet. Il accomplit une tache nécessaire en me montrant que je ne mérite pas plus d'attention. Culotte baissée et jupe troussée je passe sur ces genoux et c'est parti pour un tour de jambes en l'air à notre façon.

Le martinet à table annonce un orage. Je ne me sens pas mal à l'aise à cause de la punition qui m'attend. Tout compte fait je n'y suis pas pour rien.

Accident de parcours (récit) 3

A nous deux !

Monsieur ne parle pas à moi. Il s'adresse au martinet. Je ne suis pas la seule à la maison qui entretient un rapport étrange avec les instruments.

Approche ma chérie. Nous allons te rendre tes bonnes manières.

La chérie, c'est moi. Nous, ce sont Monsieur et son martinet. Il tient beaucoup à l'emploi du martinet. Quand il en parle j'entends bien qu'entre ces deux là c'est une histoire d'amour.

Il m'arrivé d'argumenter dans mes moments de « révolte » pour une éducation moins sévère. En matière de fantasmes les contradictions sont inévitables et les grands moteurs du piquant. Elles vont à l'encontre du principe de la réalité. Si les tenant et les aboutissants ne sont pas clairs, on parle de trouble. Jouer autour d'un trouble peut être un jeu bien agréable. Il faut seulement se poser des questions quand un trouble commence à attribuer une vertu objective aux fantasmes.

Dans ce sens je ne mets pas en doute le bien fondé de notre discipline domestique. C'est bon pour nous et cela me suffit comme légitimation. Nous ne vivons pas pour les autres. Toutefois je n'argumenterai jamais en faveur de la discipline domestique en général. Ni même de la fessée comme pratique coquine.

Notre plaisir se construit autour du décalage avec la réalité.

Et pourquoi je reçois la fessée, moi et pas mes copines ?

T'occupe pas de tes copines, isabelle. Le laxisme actuel n'a pas sa place chez nous.

C'est le moins qu'on puisse dire. La discipline chez nous ne se travaille pas seulement par la fessée. Et cela a porté ses fruits. Je sais quand il faut obéir et je sais quand je peux me permettre des écarts. Ce mode de fonctionnement ne concerne que notre couple et il me convient parfaitement. Il n'affecte pas ma vie sociale. Ni en pseudo révolte extériorisée, ni en comportement d'obéissance aveugle envers qui que ce soit. La menace d'une fessée par exemple ne m'émoustille nullement quand elle est prononcée par une autre personne que mon homme. Cela ne me procure aucune réaction et personne ne se doute, même de loin de mon penchant à moins que j'en parle. Et là encore on croit au début que je suis en train de plaisanter.

Sur certains points la discipline à la maison est très lourde. Ca n'a rien à envier des institutions hyper strictes d'antan.

On se tient droite à table, isabelle.

Ce qui me séduit avec mon homme c'est sa constance d'appliquer le règlement en tout circonstance. Il n'est pas du style à mettre la discipline domestique en pratique seulement quand ça le titille quelque part. Avec lui je sais toujours où j'en suis.

C'est moi qui décide ici et toi tu t'appliques sagement. Tu n'a qu'à te tenir au carreau si tu veux éviter les punitions.

S'appliquer sagement concerne ma culotte. Ca ne se baisse pas n'importe comment. Je dois maintenir mes jambes droites et pencher mon buste en avant. Je trousse ma jupe et je la coince dans mon porte-jarretelles. Une culotte se baisse d'un geste fluide avec les deux mains. J'ai reçu un entraînement intensif pour accomplir ce geste avec élégance. J'adore le sens du détail de mon homme. La position met mon derrière particulièrement en valeur. Il est également bien présentable pour une inspection au cas où l'envie chante mon homme. Il est très pointilleux sur hygiène.

Il aime me sermonner la culotte baissée. Je dois tenir ma jupe de manière que mon intimité et mes fessées soient parfaitement visibles.

La coincer dans mon porte-jarretelles se fait seulement quand je ne peux pas faire autrement.

Une fois installée sur ses genoux il me hâte que ma fessée commence. J'aimerais trop que cela soit déjà passé.

Ce matin là, j'ai droit à une très bonne dose. Déranger Monsieur pendant le petit dej constitue un faux pas de taille. Je le reconnais. Ce moment est très important pour lui. Il aime commencer sa journée sur des bonnes bases.

Je suis déjà en larmes de contrition. Ce regret vraiment sincère que j'ai besoin de ressentir pour mon acte malveillant. Il me reste encore à endurer le créchendo libératoire pour répartir après la conscience tranquille. Il faut une douleur bien intense pour que je me sente mon absolution et Monsieur ne manque pas d'agir dans ce sens.

Et soudainement l'imprévisible arrive dans un mécanisme bien rodé.

Allo ! Rappelez-moi dans dix minutes. J'ai un mot très important à dire à ma secrétaire. A plus tard...

Et soudainement l'imprévisible arrive dans un mécanisme bien rodé :

Le téléphone sonne.

Ca fait une drôle d'impression, car il se trouve presque devant moi sur la table basse. On dirait qu'il sonne deux fois plus fort.

Monsieur s'arrête dans son élan et pose le martinet sur les canapé. J'ai l'impression être sauvée avant l'heure. Je me réjouis déjà pendant que mon homme décroche. Je fais même mine de me lever. Mais il me retient fermement.

Toi, tu ne bouges pas de ta place ! J'ai pas encore fini avec toi.

Non ce n'était pas pour toi. J'étais en train de parler à isabelle.

A l'autre bout du fil c'est son frère qui est tout le contraire de mon homme. Avant tout il parle très fort. Ensuite il est bavard comme ce n'est pas permis. Parfois quand ça dure trop longtemps Monsieur me jette un regard désespéré qui parle de long et de large. Normalement il ne se laisse faire par personne. Mais pour son petit frère il fait une exception.

Le petit frère est au courant de nos habitudes. Il n'en parle jamais directement. La discrétion de cette branche de la famille fonctionne bien.

Mes fesses ont largement le temps de refroidir pendant que ça papote. Le petit frère a l'habitude de se répéter. souvent. Il est encore pire que moi. Monsieur ne répond que par des petits sons qui signifient oui ou non. Je me demande s'il écoute vraiment. Pour passer le temps il s'amuse avec les élastiques de mes porte-jarretelles. Il les tire au maximum, puis les relâches. J'ai horreur de ce geste. Il le fait même quand nous sommes invités quelque part et les circonstances sont favorables. Sa main remonte le long de mes jambes et c'est parti pour son amusement. A f o r c e de faire le gamin il lui arrive parfois de me casser l'élastique ou pire encore l'attache. Dans ce cas je suis bonne pour le dépannage avec une pièce d'un cent. Ca me fait bouillonner. Je tiens à mes jolis sous-vêtements.

Ce matin-là je passe plus d'une heure sur les genoux de mon homme. Mes fesses nues bien en l'air, ma tête baissée. Pas pour cause de honte, mais à cause de la position inconfortable. Je suis un peu étourdie. Plus que je sens l'agacement monter en Monsieur, plus que je commence à craindre pour mes fesses.

Pourquoi a-t-il décroché ? Quand je reçois ma fessée je veux au moins qu'il ne se consacre qu'à moi.

Cet incident soulève une multitude de questions en moi. Du genre que je ne pose jamais. Je suis trop active pour ruminer. Là j'ai le temps pour ressasser. C'est péniblement long.

Quand Monsieur raccroche j'essaye de me faire toute petite. Déjà en conditions normales, je n'ai pas trop intérêt de l'embêter dans un tel moment. Alors j'attends. Enfin tombe le verdict.

On va recommencer à zéro, isabelle. Tu as trop besoin de ta correction.

Je sais quand il faut se taire avec mon homme. C'est vraiment un très brave type. Mais une matinée débutant par mes reproches, suivie par un frère qui parle pour tuer le temps, c'est trop pour lui.

Alors la fessée reprends. J'ai toujours l'impression pendant cet acte qu'il ne vise pas mes fesses, mais mes émotions. Il les dirige par la douleur infligée qui me fait vite réviser mes attitudes qui ont motivées ma punition. Il ne me fesse pas pour un plaisir mutuel, mais pour me corriger. Que je fasse mieux la prochaine fois, que j'apprenne de mes erreurs. Pour moi une fessée efficace est inconcevable sans mes larmes. J'ai besoin de pédaler avec mes jambes dans l'air et d'évacuer ma tension nerveuse en pleurant à haute voix. A ce moment j'ai besoin qu'il se montre particulièrement sévère avec moi. C'est un instant de grande intimité qui me fait du bien. Ca n'a rien de sexuel dans le sens excitant pour moi. Toutefois il y a des comparaisons qui s'imposent. Il arrive toujours le point où la tension nerveuse se relâche et où je me sente enfin détendue.

C'est un état qui se mérite par une très douloureuse expérience. Juste avant je gigote de plus en plus et Monsieur me corrige de plus en plus fort. Mais décidément ce n'est pas notre journée. Une lanière du martinet s'élance avec un sifflement à côté de ma tête.

J'entends un gros mot et le martinet entier vole à travers de la pièce.

Je relève ma tête et je vois.... mon homme en colère.

Je ne puis m'empêcher d'éclater en fou rire. Je dois avoir une drôle d'allure avec mon maquillage coulé, mes cheveux en bataille et mon fessier strié à l'écossaise.

Au lieu de marquer ce jour de colère dans le calendrier, j'ai préféré d'en faire un petit texte.

Ps : Monsieur ce jour-là n'a pas fini de me corriger. Comme il dit :

Colère et discipline ne forment pas un joli couple.

En allusion à nous deux. Quand il veut il peut se montrer terriblement romantique peu importe la situation.

Avec l'aimable autorisation d'Isabelle183  d'Autour de la fessée/Discipline Domestique Romantique

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CINQ JEUX DE SOCIÉTÉ AUTOUR DE LA FESSEE

Colère et discipline ne forment pas un joli couple en effet.
Si elle a été odieuse elle méritait effectivement une bonne fessée
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